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L’ÉTAT ÉTERNEL
Edward Dennett [ajouts bibliquest entre crochets]
https://www.stempublishing.com/authors/dennett/rapture.html#a4
[Table des matières :]
1 [L’Écriture est-elle silencieuse sur l’état éternel ?]
2 [La résurrection à la base de la victoire sur l’ennemi. À la fin, le royaume remis à Dieu le Père]
3 [L’œuvre achevée pour glorifier le Père, le royaume remis au Père en prélude à l’état éternel]
4 [Le Fils, Premier-né parmi plusieurs frères]
5 [La maison du Père après le royaume]
6 [Le Fils assujetti afin que Dieu soit tout en tous]
7 [Apoc. 21:1-4 — L’Église et l’habitation de Dieu avec les hommes]
8 [Apoc. 21:5 — Toutes choses faites nouvelles : l’achèvement de la nouvelle création, 2 Cor. 5:17]
9 [Apoc. 21:5 — La fin de toutes les peines et sources de peines]
10.2 [État éternel, avec Christ dans la maison du Père]
10.3 [Communion aujourd'hui. Joie et repos dans Son amour à la fin]
Le sujet considéré maintenant est celui de l’état éternel qui suit le monde à venir. On dit souvent que presque rien ne nous est révélé du ciel et de la bénédiction des rachetés dans l’éternité. Cela est vrai dans la mesure où nous n’en avons pas de présentation détaillée, mais on trouve de nombreuses indications caractéristiques qui, combinées ensemble, permettent d’éclairer considérablement le sujet. La transition de la fin du royaume (le « monde à venir » et le royaume coïncident dans leur durée) à l’état éternel est donnée d’une manière remarquable. Le passage de l’écriture est si frappant que nous le citons dans son intégralité : « car, comme dans l’Adam tous meurent, de même aussi dans le Christ tous seront rendus vivants ; mais chacun dans son propre rang : les prémices, Christ ; puis ceux qui sont du Christ, à sa venue ; ensuite la fin, quand il aura remis le royaume à Dieu le Père, quand il aura aboli toute principauté, et toute autorité, et toute puissance. Car il faut qu’il règne jusqu’à ce qu’il ait mis tous les ennemis sous ses pieds : le dernier ennemi qui sera aboli, c’est la mort. Car « il a assujetti toutes choses sous ses pieds », Ps. 8:6. Or, quand il dit que toutes choses sont assujetties, il est évident que c’est à l’exclusion de celui qui lui a assujetti toutes choses. Mais quand toutes choses lui auront été assujetties, alors le Fils aussi lui-même sera assujetti à celui qui lui a assujetti toutes choses, afin que DIEU SOIT TOUT EN TOUS » (1 Cor. 15:22-28).
On pourrait s’attarder avec grand plaisir sur l’étendue et la beauté merveilleuses de ces communications divines, mais cela nous ferait sortir de notre sujet. Nous n’attirerons donc l’attention que sur trois points.
● Le premier est que, du fait que tout, dans ce passage, découle de la résurrection de Christ, ainsi tout est assuré pour Dieu et bien établi dans et par la résurrection de Son Fils bien-aimé. C’est vraiment la démonstration de ce que Sa victoire sur toute la puissance de l’ennemi est complète, et cela donne l’assurance de l’accomplissement de tous Ses desseins.
● En second lieu, remarquez le plaisir que prend l’Esprit de Dieu à souligner sept fois, que toutes choses, tous les ennemis, etc. sont assujettis à Christ. C’est une autre preuve qu’Il aime glorifier Christ.
● Troisièmement, nous devons nous arrêter sur la remise du royaume à Dieu le Père ; Christ Lui-même, après que toutes choses Lui auront été assujetties, sera assujetti afin que Dieu puisse être tout en tous. Sur ce dernier point, qu’il nous soit permis de nous étendre un peu, car cela jette de la lumière sur la position de Christ dans l’éternité, et sur le caractère de l’éternité elle-même.
Nous apprenons donc, tout d’abord, que de même que l’enlèvement des saints est préparatoire à l’apparition, de même le royaume de Christ, lorsque toutes choses Lui seront assujetties, n’est que le prélude à l’état éternel. Sans outrepasser les limites de la révérence, il peut nous être permis de méditer, ne serait-ce qu’un instant, sur la joie du Seigneur une fois Son œuvre accomplie, quand Il remettra le royaume à Dieu le Père. Dans toute Sa mission d’Envoyé du Père, nous savons par Ses propres paroles que Son but était de glorifier le Père, et qu’Il a parfaitement réalisé ce but. Comme Il l’a dit à la veille de quitter ce monde : « Père, l’heure est venue ; glorifie ton Fils, afin que ton Fils te glorifie » et aussi : « Moi, je t’ai glorifié sur la terre, j’ai achevé l’œuvre que tu m’as donnée à faire » (Jean 17:1-4). De la même manière, Il glorifiera Dieu, car Il fera éprouver tout ce que Dieu est dans Sa domination bénie de justice et de paix. C’est pourquoi « Son nom sera pour toujours ; Son nom se perpétuera aussi longtemps que le soleil, et on se bénira en lui : toutes les nations le diront bienheureux » (Ps. 72:17). Puis, Son œuvre étant une fois de plus achevée, Il remettra le royaume avec joie dans le cœur, entre les mains de Celui de qui Il l’a reçu.
Là-dessus, une autre chose merveilleuse se produit. « Mais quand toutes choses lui auront été assujetties, alors le Fils aussi lui-même sera assujetti à celui qui lui a assujetti toutes choses, afin que Dieu soit tout en tous ». Ce secret divin ne peut être révélé qu’à la lumière de la rédemption et, béni soit Dieu, il a été révélé. Le Fils s’est incarné, et Il demeure incarné pour toujours. Ce mystère a été dévoilé par l’apôtre Paul : « Car ceux qu’il [Dieu] a préconnus, il les a aussi prédestinés à être conformes à l’image de son Fils, pour qu’il soit premier-né entre plusieurs frères » (Rom. 8:29). Quand donc Christ aura remis le royaume et sera Lui-même assujetti, c’est que, désormais, Il prendra sa place comme Homme parmi les rachetés, mais comme Premier-né parmi Ses frères. Dans toutes les sphères où il Lui plait d’aller, il faut qu’Il ait la prééminence, il faut qu’Il ait la première place. Son Père est notre Père, et Son Dieu notre Dieu, mais durant l’éternité, tandis que nous serons fils avec Lui devant la face du Père, Il sera toujours le Premier-né ; et lorsque nous tomberons à Ses pieds en adoration, nous serons ravis de reconnaitre Sa suprématie dans la sphère des affections divines. En même temps, il faut nous rappeler que le Seigneur demeurera Homme pour toujours, mais qu’Il ne cessera jamais d’être une Personne divine, et que le terme Dieu, lorsqu’il est utilisé absolument, comme à la fin du v. 28 (1 Cor. 15), inclut tout ce que Dieu est comme Père, Fils et Saint Esprit.
Avant de nous attarder un peu sur la phrase « afin que Dieu soit tout en tous », nous devons, si on ose s’exprimer ainsi, nous demander où Christ sera Premier-né entre plusieurs frères. C’est précisément ici que la maison du Père trouve sa place. Il est tout à fait vrai que les saints seront introduits dans la maison du Père après avoir été enlevés dans les nuées à la rencontre du Seigneur en l’air ; mais, comme nous l’avons vu dans des précédents exposés, ils quitteront rapidement cette demeure bénie pour être manifestés en gloire avec Christ. De plus, comme il ressort clairement de l’enseignement du passage de l’Écriture devant nous, Christ ne prend pas Sa place parmi les rachetés dans Son caractère final, comme assujetti à Celui qui Lui a assujetti toutes choses, avant d’avoir remis le royaume à Dieu le Père. Ce n’est donc qu’après le royaume que la maison du Père devient, dans son sens véritable et propre, la demeure éternelle de la famille de Dieu quelles que soient leurs relations particulières avec le Père. La maison du Père, où toutes les affections divines s’épancheront sans cesse et seront pleinement goûtées, et auxquelles les rachetés répondront dans la mesure de leur jouissance, sera donc une caractéristique de l’état éternel.
Le langage manque nécessairement lorsque nous en venons à parler du Fils qui devient assujetti afin que Dieu soit tout en tous. On ne peut pas faire plus que toucher la surface d’une telle expression. Mais heureusement il nous est dit ce qu’est Dieu absolument dans Sa nature bénie. Il est amour, et il est révélé en outre que « celui qui demeure dans l’amour demeure en Dieu, et Dieu en lui » (1 Jean 4:16). Encore une fois, nous sommes limités par notre compréhension imparfaite de la nature de Dieu. Nous pouvons quand même comprendre que lorsque Dieu sera tout en tous,
● tout ce qu’Il est en tant qu’amour sera pleinement manifesté,
● que cette manifestation remplira tout le ciel de sa félicité,
● que l’amour sera l’atmosphère glorieuse de toute la scène, et
● que tous les rachetés demeurant dans l’amour demeureront en Dieu et Dieu en eux. Ce sera partout Dieu comme objet et comme sujet — Dieu TOUT EN TOUS.
Oui, ce ne sont que des mots, nous le savons bien, mais bien que seulement des mots, l’Esprit Saint les utilise pour donner à quelques-uns d’entrer dans l’ineffable béatitude de l’état éternel.
Il reste un autre passage qui traite de l’état éternel, à savoir Apoc. 21:1-4. Certains peuvent avoir l’impression que nous descendons sur un plan inférieur dans cette description symbolique. Et pourtant deux choses sont données ici qui ajoutent immensément aux déclarations des passages déjà considérés.
La première est que l’église conserve sa place spéciale de proximité et de bénédiction pendant toute l’éternité. La ville sainte, la nouvelle Jérusalem, que Jean a vue descendant du ciel, préparée comme une épouse ornée pour son mari, nous savons qu’elle est la femme de l’Agneau (Apoc. 19.7) : c’est-à-dire l’Église ; et, tandis qu’elle descend, elle est proclamée être comme le tabernacle de Dieu. Les hommes, les saints sauvés de toutes les époques, hormis ceux du jour de la grâce, seront tout autour, comme les tribus d’Israël campaient autour du tabernacle dans le désert, mais l’église sera la demeure éternelle de Dieu, et Il y demeurera avec les hommes, et ils seront Son peuple, et Dieu Lui-même sera avec eux, leur Dieu, comme habitant au milieu d’eux dans Son tabernacle. Toutes les familles, ou « toute famille » comme Paul dit (Éph. 3:15), seront là, toutes pareillement nommées du Père de notre Seigneur Jésus-Christ, et toutes tirant leur caractère de Christ, toutes les familles parfaites dans la bénédiction, même s’il y a de nombreux cercles de béatitude autour du tabernacle de Dieu.
Le deuxième point est lié à ce que nous lisons au v. 5 (Apoc. 21) : « Et celui qui était assis sur le trône dit : Voici, je fais toutes choses nouvelles ». Si nous nous tournons maintenant vers 2 Cor. 5, on comprend mieux cette annonce. Là, il est dit : « si quelqu’un est en Christ, c’est une nouvelle création : les choses vieilles sont passées ; voici, toutes choses sont faites nouvelles » (v. 17). Déjà maintenant, étant en Christ, le croyant est passé dans une nouvelle sphère, la sphère de la nouvelle création, où toutes choses sont de Dieu, une sphère qui a été inaugurée et établie par la résurrection de Christ, bien qu’ayant toujours été dans les pensées de Dieu selon Ses conseils éternels. Maintenant, dans l’Apocalypse, il nous est permis de voir l’achèvement de cette nouvelle création. Ce qui, jusque-là, avait été l’objet de la foi est maintenant présenté en réalité dans le nouveau ciel et la nouvelle terre, où la justice a obtenu sa demeure paisible, et où Dieu peut demeurer avec un plaisir infini dans Son tabernacle, entouré des rachetés de toute époque et de tous pays. Il n’est aucun chrétien sur la face de la terre qui ne se réjouisse en contemplant cette scène dans laquelle Dieu est tout en tous.
Il y a deux aspects de bénédiction dans ce merveilleux tableau. Il y a un côté positif en ce que Dieu habite au milieu des Siens (21:3), source éternelle de toute leur félicité durant l’éternité ; et il y a un côté négatif (mais bienheureux !) par la rémission de toute pression rencontrée en traversant ce monde (21:4). On dit parfois que le fait de s’attendre à une rémission est la marque d’un bas état spirituel. C’est souvent le cas, peut-être, et on est bien d’accord qu’anticiper la joie d’être avec Christ Lui-même, dans toutes Ses perfections et Ses beautés inexprimables, est une chose beaucoup plus bénie. Ceci étant pleinement admis, il reste qu’on peut encore se demander si Dieu n’est pas beaucoup plus attentionné et tendre que nous. Car, dans ce passage de l’écriture, Il offre la perspective d’une rémission éternelle de tout ce qui nous a infligé douleur et détresse durant notre pèlerinage dans le désert. Avec quelle gratitude et dans tous les âges, des cœurs accablés, des cœurs fondus de douleur par des deuils multiples n’ont-ils pas attendu ce temps béni où la douleur sera passée pour toujours sous le soleil de l’amour éternel !
« Seigneur, hâte ce jour de rayonnement sans nuage,
Cette perspective brillante, qui ne faiblit pas ;
Où Dieu brillera dans la lumière divine,
Dans une gloire qui ne s’estompe jamais. »
Il n’est pas possible de méconnaitre la beauté du langage employé, et en y réfléchissant tant soit peu, laissons-le pénétrer profondément dans nos cœurs dans la puissance du Saint-Esprit. Les tout premiers mots « Et Dieu essuiera toute larme de leurs yeux » (Apoc. 21:4a), sont pleines d’une profonde et infinie tendresse. C’est Dieu Lui-même, prenant chacun, pour ainsi dire, dans Ses bras éternels [Deut. 33:27], et dans Son grand amour, effaçant toute trace des peines de notre pèlerinage terrestre. Alors – « la mort ne sera plus ; et il n’y aura plus ni deuil, ni cri, ni peine, car les premières choses sont passées » (Apoc. 21:4b). Par un seul homme, le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort, et ainsi la mort a passé à tous les hommes, car tous ont péché (Rom. 5:12). Mais avant que vienne ce temps sur lequel nous méditons, l’Agneau de Dieu aura ôté le péché du monde, et la mort et le hadès auront été jetés dans l’étang de feu. La mort, le dernier ennemi, aura ainsi été détruite ; et, avec la mort, tous les malheurs, la douleur, les pleurs et les peines disparaîtront, de sorte qu’aucun nuage ne reposera plus jamais sur le cœur d’aucun racheté. Le repos de Dieu aura ainsi été atteint et les Siens y participeront pour toujours par Sa grâce inexprimable, — béni soit Son nom ! Or Il nous révèle tout cela maintenant, afin que nous puissions vivre à cette lumière par la foi, et que nous y trouvions non seulement un antidote aux épreuves actuelles, mais aussi un encouragement béni pour avoir nos pensées aux choses d’en haut où Christ est assis à la droite de Dieu.
Nous avons maintenant atteint la fin de nos méditations sur ces sujets bénis. Ce n’est qu’une esquisse, nous en sommes bien conscients. Le lecteur qui voudra y entrer plus pleinement, ne trouvera aucune difficulté, la Bible en main, à approfondir, sous la conduite de l’Esprit Saint, ces quelques sujets liés les uns aux autres. À cet effet, il peut être utile, pour conclure, de donner un bref résumé de l’ensemble du sujet.
Tout d’abord, après quelques remarques introductives, dans lesquelles on a insisté sur le fait que l’enlèvement était l’objet immédiat de l’espérance du croyant, nous avons cherché à montrer la relation entre l’enlèvement et l’apparition, et on a vu de manière évidente qu’entrer avec Christ lors de l’enlèvement est une préparation à sortir avec Lui en gloire à l’apparition.
Puis un rapide coup d’œil à l’enseignement des épîtres a montré surabondamment que de nombreux écrivains unissent leur témoignage pour dire que l’apparition de Christ est le but placé devant le cœur du croyant pour sa vie et son service du point de vue de sa responsabilité.
À la suite de l’apparition de Christ, il y a deux aspects de la même période, l’établissement et la gloire du royaume qui sera universel, et le monde à venir. Une différence entre ces deux choses a été mise en exergue. Dans le royaume, Christ régnera sur toute la terre ; il y a le côté céleste du royaume, mais ceci est appelé le royaume du Père (Matt. 13:43).
Le monde à venir est assujetti à Christ comme Fils de l’homme, et comprend des choses dans les cieux, des choses sur la terre, et même des choses sous la terre (Apoc. 5:13). Toutes pareillement auront Christ comme Tête glorieuse et universelle.
À la fin des mille ans, après le jugement du grand trône blanc, Christ remettra le royaume à Dieu le Père, puis, quand toutes choses lui auront été assujetties, alors le Fils Lui-même sera assujetti à Celui qui Lui a assujetti toutes choses, afin que Dieu soit tout en tous. (*)
(*) Il est très intéressant de noter que la dernière mention de Christ dans les écritures est en relation avec Sa remise du royaume. Cet acte doit être postérieur à Sa séance sur le grand trône blanc. On ne Le revoit pas pour la simple raison que, dans l’éternité, Dieu — Père, Fils et Saint-Esprit — est tout en tous. Mais nous savons, comme cela a été expliqué, que Christ demeure pour toujours comme Premier-né entre plusieurs frères.
Nous arrivons ainsi à l’éternité, et le voile est levé pour nous permettre de contempler Christ comme l’Homme glorifié, Premier-né entre plusieurs frères. La maison du Père, avec ses nombreuses demeures, est désormais habitée par tous les rachetés, et dans chaque sphère ou famille, Christ est le centre et a la suprématie. Dieu est la fontaine et la source de toute la bénédiction, et à Lui sera la gloire dans l’église par le Christ Jésus à travers tous les âges, – un monde sans fin (« dans toutes les générations du siècle des siècles »). Amen.
Une remarque supplémentaire : De ce qui a été dit, il s’ensuit que les desseins de Dieu n’atteignent pas leur pleine réalisation avant l’état éternel. C’est la fin que Dieu a toujours en vue, et vers laquelle, à travers les âges, Il a toujours travaillé. Et quand cette fin aura été réalisée, Il se reposera dans Son amour au sens le plus complet, et se réjouira pour toujours dans Ses rachetés avec chants de joie. Entre temps, le bonheur du croyant sera dans la communion avec Dieu dans Ses objets, Ses désirs et Ses affections. Puisse-t-Il travailler puissamment dans le cœur de Ses bien-aimés, dans ces derniers jours, pour les amener à une communion toujours plus étroite avec Son propre cœur, et à une connaissance toujours plus profonde de Lui-même et de Ses pensées, pour Sa propre gloire. Amen.