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Citations d’auteurs divers

 

Ce document comprend principalement des extraits des études bibliques ; il a été réalisé pour permettre un accès rapide à des explications sur des points particuliers sans avoir à charger la totalité de l’étude biblique

 

Marie : les différentes Marie dans les évangiles — Jean 19 :25

Marie de Magdala et l’autre Marie (*) — car elles étaient connues —s’asseyent près du sépulcre, liées par tout ce qui restait pour leur foi de Celui qu’elles avaient aimé et suivi avec adoration pendant sa vie (v. 61).

(*) C’est-à-dire, la femme de Clopas et la mère de Jacques et de Joses, de laquelle il est souvent question comme «l’autre Marie». En Jean 19: 25, Marie, femme de Clopas, a été prise comme une apposition de la soeur de la mère de Jésus. Mais c’est une erreur. C’est une autre personne. Il y avait quatre femmes : trois Marie et la soeur de la mère de Jésus.

Citation de J.N.D., Études sur la Parole, à propos de Matt. 27

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Femmes : Leur rôle dans l’évangile

Mais le récit continue. De pauvres femmes — auxquelles le dévouement donne souvent, de la part de Dieu, plus de courage qu’aux hommes dont la position est plus responsable et plus agitée — se tenaient près de la croix, regardant ce qui arrivait à Celui qu’elles aimaient (*) (v. 55-56).

(*) La part des femmes dans toute cette histoire est très instructive, spécialement pour elles. L’activité du service public, ce qu’on peut appeler «l’œuvre», appartient naturellement aux hommes, c’est-à-dire tout ce qui tient à ce que l’on nomme généralement ministère ; bien que les femmes aient part à une activité très précieuse en particulier. Mais il y a un autre côté de la vie chrétienne qui est plus spécialement le leur : c’est le dévouement personnel et l’affection à Christ, C’est une femme qui a oint le Seigneur quand les disciples murmuraient ; ce sont des femmes qui étaient à la croix, quand tous, sauf Jean, l’avaient abandonné ; ce sont des femmes qui sont venues au sépulcre et ont dû appeler les apôtres qui s’en étaient retournés chez eux ; enfin, ce sont des femmes qui subvenaient aux besoins du Seigneur. Et, en vérité, cela va plus loin. Le dévouement dans le service appartient peut-être aux hommes ; mais l’instinct d’affection, ce qui entre plus intimement dans la position de Christ, et se trouve ainsi plus immédiatement en rapport avec ses sentiments, dans une communion plus étroite avec les souffrances de son coeur, cela est la part de la femme : assurément, c’est une part heureuse. L’activité du service pour Christ place l’homme un peu en dehors de cette position, si du moins il n’est pas vigilant. Chaque chose a, du reste, sa place. Je parle de ce qui est caractéristique ; car il y a des femmes qui ont beaucoup servi, et des hommes qui ont beaucoup senti. Notez aussi, ce que je crois avoir fait remarquer, que cet attachement du coeur à Jésus est l’état dans lequel sont reçues les communications de la vraie connaissance. Le premier et plein Évangile est annoncé à la pauvre femme pécheresse qui lava les pieds du Seigneur ; l’embaumement pour sa mort, à Marie ; notre plus haute position, à Marie de Magdala ; la communion que Pierre désirait, à Jean, qui était dans le sein de Jésus. Et ici, les femmes ont une grande part.

Citation de J.N.D., Études sur la Parole, à propos de Matt. 27

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Le roi et le femme de Prov. 31 modèles du chrétien et de son service

Dans le dernier chapitre, nous avons le caractère du roi selon la sagesse, et celui de la femme dans sa maison. Le roi ne se permet pas ce qui, en obscurcissant son discernement moral par l’indulgence envers ses convoitises, le rendrait impropre à gouverner. Dans la femme, on trouve ces soins suivis et dévoués qui garnissent la maison de biens et en rendent les habitants honorables, et qui ôtent tous les soucis et toutes les inquiétudes qu’enfante la paresse. L’application typique de ces deux spécialités de sagesse se dessine assez nettement pour ne pas exiger d’explication. Quant à l’esprit de la chose, l’exemple de la femme est d’une grande utilité pour celui qui travaille dans l’Assemblée.

Citation de J.N.D., Études sur la Parole, à propos de Proverbes 31

 

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