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Les images des choses qui sont dans les cieux
Exode 25:8-9 ; Hébreux 8:2 ; 9:11, 23
Arend Remmers [entre crochets : ajouts de Bibliquest]
dication donnée en 1998 à la conférence de Plumstead
Truth and Testimony, vol.10 New series, n°1(13) p.1-9, 2008
[Tables des matières :]
1 [Le tabernacle, une image des choses célestes + de l’habitation de Dieu]
2 Le chandelier et la table des pains de proposition
Quand nous regardons le tabernacle en Exode 25, nous voyons qu’il représente deux choses entièrement différentes, mais pas séparées.
D’un côté le tabernacle dans le désert, qui est l’habitation de Dieu au milieu de son peuple, est une représentation figurée des choses qui sont dans les cieux. Il est la représentation visible de choses invisibles ; et dans le livre de l’Apocalypse que nous considérons dans cette conférence, il y a beaucoup d’allusions à ces réalités spirituelles, invisibles et immatérielles. C’est un côté des choses : le tabernacle dirige les regards en haut et nous montre quelque chose d’invisible.
Mais d’un autre côté, le tabernacle est aussi un type de l’assemblée qui, à l’époque, était encore à venir. Il dirige les regards en avant, vers l’habitation spirituelle future de Dieu au milieu de Son assemblée.
Le tabernacle est toujours appelé « tabernacle » dans les Hébreux, même si en réalité c’est le temple qui est en vue. Cette appellation est là pour montrer que tout ce qui est ici sur la terre est passager (Héb. 8:5; 9:21; 13:10). C’est « la figure et l’ombre des choses célestes » (Hébreux 8:5), et cela dirige aussi les regards sur le fait qu’au-delà des cieux créés représentés par le tabernacle, il y a quelque chose de plus qu’un tabernacle : il y a la maison du Père ; elle n’est cependant pas en vue quand nous regardons le tabernacle ou le temple. La maison du Père, la demeure éternelle de Dieu, n’est pas de cette création, alors que le tabernacle parle des cieux créés au milieu desquels se trouve le trône de Dieu, trône gouvernemental et de jugement, trône qui est le centre ou le sommet de la création, où Dieu préside en gouvernement et en jugement sur Sa création.
Quand le Seigneur dit : « Dans la maison de mon Père, il y a plusieurs demeures » (Jean 14:2), le Seigneur parle de quelque chose qu’Il ne mentionne qu’une fois dans ce sens. Il parle du temple comme la maison de son Père une seule fois ailleurs, en Jean 2 ; mais en Jean 14 Il parle de la maison de Son Père où personne n’a jamais été, où Lui seul est allé en tant qu’Homme glorifié pour nous y introduire. Elle ne s’appellera jamais un tabernacle, parce que c’est la demeure éternelle de Dieu, et une fois que nous y serons, ce sera aussi notre demeure éternelle de félicité, de bénédiction et de gloire.
Ce que nous avons ici, en Hébreux 8 et 9, avec le tabernacle est plutôt ce que Dieu veut nous montrer à propos des lieux célestes. Ce n’est que par ces « images des choses qui sont dans les cieux », comme J.N. Darby l’a traduit, que les choses invisibles peuvent être expliquées à des êtres humains (Héb. 9:23).
En connexion avec le tabernacle, nous avons l’autel d’airain, la cuve d’airain (appelée « la mer » plus tard dans le temple), puis, à l’intérieur du tabernacle, nous avons l’autel d’or ou autel de l’encens, la table des pains de proposition et le chandelier. Dans le saint des saints, nous avons l’arche du témoignage ou arche de l’alliance de Dieu. Ces choses parlent de réalités célestes. Elles sont des représentations visibles, matérielles, de choses invisibles, spirituelles. Nous ne pouvons pas dire qu’elles ne sont que des pensées parce qu’elles parlent de principes et de faits qui ont toujours joué un rôle dans le cœur et les pensées de Dieu, et qui continueront à le faire pour l’éternité.
Il est intéressant de noter que dans les Hébreux et dans le livre de l’Apocalypse, les choses placées dans le tabernacle n’ont pas toutes une contrepartie. C’est le cas en premier lieu du chandelier. Il y est fait allusion aux ch. 2 et 3 de l’Apocalypse, mais là les sept lampes au milieu desquelles le Seigneur marche ne sont pas dans le ciel ; elles sont sur la terre, et elles ne servent pas de lumière dans le sanctuaire, mais dans le monde.
De même, dans la description du Nouveau Testament des réalités célestes, il n’y a pas de contrepartie à la table des pains de proposition. Les douze pains étaient un rappel continuel à Dieu de Son peuple sur la terre à cette époque-là, les douze tribus d’Israël ; s’agissant du corps de Christ, il ne pouvait pas y avoir et il n’y avait pas de représentation de son unité dans l’Ancien Testament. Quant à l’absence de représentation dans le Nouveau Testament, une explication est que, lorsque l’unité du corps existe effectivement, il n’est pas nécessaire de la représenter.
Le peuple de Dieu ici sur la terre, tant le peuple terrestre que le peuple céleste, n’ont presque jamais été visibles en tant que compagnie entière. Israël a été assujetti à l’Assyrie et à Babylone, et a été dispersé dans le monde entier ; quant au peuple céleste de Dieu, l’assemblée, qu’en voyons-nous maintenant ? — Néanmoins, Dieu voit l’unité de l’assemblée, l’unité formée par l’habitation du Saint-Esprit dans chaque membre du corps et dans le corps de Christ dans son entier.
La première chose que les Israélites voyaient en arrivant à la porte du parvis était l’autel d’airain et cet autel est mentionné en Apocalypse 8 : « Et un autre ange vint et se tint debout devant l’autel, ayant un encensoir d’or ; et beaucoup de parfums lui furent donnés, pour donner [efficace] aux prières de tous les saints, sur l’autel d’or qui est devant le trône. Et la fumée des parfums monta avec les prières des saints, de la main de l’ange devant Dieu. Et l’ange prit l’encensoir et le remplit du feu de l’autel ; et il jeta [le feu] sur la terre » (Apoc. 8:3-5). Il est fait référence là à « l’autel d’or qui était devant le trône », mais l’autel devant lequel l’ange se tenait debout et duquel il remplissait l’encensoir de feu, était l’autel d’airain.
Cet autel sur lequel les offrandes étaient sacrifiées à Dieu parle du lieu où le jugement de Dieu s’est déversé. On l’appelle parfois le type de la croix, et l’Écriture elle-même l’appelle « la table du Seigneur » (Malachie 1:12). Qu’est-ce que cela nous apprend des choses célestes ? D’abord que la pensée de l’œuvre du Seigneur Jésus sur la croix au Calvaire était dans le cœur de Dieu, et avait une place devant Lui dans le ciel de toute éternité. L’autel d’airain était le lieu où le Seigneur Jésus, le Seul non coupable, a porté le jugement complet, juste et vrai des pécheurs. Le moment est venu où ce jugement a été exécuté sur terre au Calvaire, mais c’est une vérité qui demeure pour l’éternité que le jugement de Dieu en justice à la croix du Calvaire est la seule base pour la communion entre Dieu et l’homme. Voilà pourquoi il y en a une représentation dans le tabernacle.
Dans l’Ancien Testament, quand les sacrificateurs avaient été consacrés, le feu était descendu du ciel et avait consumé le sacrifice sur l’autel. Dans d’autres cas importants, ceux de Gédéon, de Manoah, de David à l’aire d’Ornan, et de Salomon lors de la consécration du temple, Dieu montra son approbation en envoyant le feu du ciel. Le feu parle de la sainteté de Dieu qui doit consommer tout ce qui n’est pas en accord avec elle. Il en a été ainsi au commencement et il en sera ainsi jusqu’à la fin. C’est la raison pour laquelle le feu était continuellement sur l’autel dans le parvis du tabernacle. En contraste avec cela, le feu étranger que les fils d’Aaron avaient apporté était du feu qu’ils avaient allumé eux-mêmes et qui n’avait pas son origine en Dieu. Cela nous rappelle que nous devons aussi nous orienter nous-mêmes et notre ministère sur la sainteté de Dieu. En Apocalypse 8:5 on voit l’ange prendre des charbons de l’autel. C’est la seule norme selon laquelle tout doit être fait, que ce soit l’efficacité de l’encens qui doit être apporté (8:3), ou le jugement qui doit être jeté sur la terre (8:5). L’ouverture du septième sceau (8:1) a lieu tôt dans le déroulement des jugements de Dieu sur la terre, mais il nous est montré que le feu qui allume et caractérise le jugement a son origine dans ce lieu où Dieu a déjà jugé le péché dans Son Fils unique et bien-aimé.
En résumé, l’autel dans le parvis du tabernacle nous montre la pensée éternelle et immuable et la réalité que Dieu doit juger le péché. Cela nous montre qu’Il l’a fait dans la personne de Son Fils sur la croix du Calvaire et que c’est là la base de toutes Ses actions, quelles qu’elles soient.
Dans le parvis du tabernacle, après l’autel d’airain le sacrificateur arrivait à la cuve. On a déjà vu ce qui répond à cela en Apocalypse 4. La cuve est appelée « cuve d’airain » en rapport avec le tabernacle, et elle est appelée « mer d’airain » en rapport avec le temple de Salomon, et c’est sous ce second nom qu’on la trouve dans l’Apocalypse. Il y est question du trône de Dieu (Apoc. 4:2) et des vingt-quatre anciens autour de ce trône (Apoc. 4:4), puis au verset 6 : « et devant le trône, comme une mer de verre, semblable à du cristal ». Cette mer de verre est encore mentionnée au ch. 15 v. 2 : « Et je vis comme une mer de verre, mêlée de feu ».
Le grand sacrificateur et les sacrificateurs devaient être lavés lors de leur consécration, et ce lavage au commencement nous montre qu’ils étaient lavés une fois pour toutes pour leur ministère. Dans ce contexte, nous pouvons facilement comprendre que le Seigneur y faisait allusion dans un sens spirituel en Jean 13 en disant « Celui qui a tout le corps lavé n’a besoin que de se laver les pieds ; mais il est tout net » ; Il se référait au lavage reçu par notre nouvelle naissance. Il nous a aimés et nous a lavés par Son sang, mais nous avons aussi eu ce lavage moral complet en devenant participants de la nature divine.
Dans l’Ancien Testament, la cuve d’airain était remplie d’eau. Chaque fois que le souverain sacrificateur et les sacrificateurs entraient dans le sanctuaire, ils passaient par cette cuve et avaient raison de se laver les mains et les pieds avant d’entrer dans la sainte présence de Dieu. En Jean 13, le Seigneur a dit à ses disciples qu’ils devaient se laver les pieds les uns aux autres selon l’exemple qu’il leur laissait. Il faisait référence à leur marche en général, bien qu’il y ait certainement une répercussion sur le service sacerdotal si les soins à cet égard manquent. Combien il est important que nous aussi, à la fois dans notre vie quotidienne et dans notre service sacerdotal, nous soumettions notre comportement à l’action purificatrice de l’eau pure de la Parole de Dieu. Éphésiens 5:26 nous montre que le Seigneur Jésus Lui aussi applique cette eau à l’ensemble de l’assemblée. Il sanctifie et purifie Son assemblée par le lavage de l’eau de la Parole, — cette assemblée qu’Il a aimée et pour laquelle Il s’est livré.
Avons-nous besoin d’être purifiés dans le ciel ? Avons-nous besoin d’être lavés de la souillure dans la présence pure du Seigneur ? Non. Il y a donc une mer qui ne contient pas d’eau, mais « une mer de verre, semblable à du cristal ». Le verre, si c’est du verre de bonne qualité bien sûr, ressemble à de l’eau, mais cette mer de verre est l’expression d’un état de pureté figé qui sera toujours vrai de ceux qui sont jugés dignes de passer l’éternité dans la présence de Dieu. Elle leur rappellera pour toujours ce qui est nécessaire à la présence de Dieu.
L’autel d’or (*) dans le sanctuaire du tabernacle et du temple était juste en face du voile qui cachait l’arche de l’alliance. En Apocalypse 8:3b, il est appelé «l’autel d’or qui est devant le trône». Que représente cet autel d’or ? Comme tout le reste de ce qui se trouve dans le tabernacle, c’est une expression de la personne et de l’œuvre du Seigneur. Que ce soit l’autel d’airain, la cuve, le chandelier ou la table des pains de proposition, toutes ces choses parlent du Seigneur qui est la base, dans la présence de Dieu, de ce qui est spirituellement lié à ces différents objets.
(*) note Bibliquest : l’auteur considère que l’encensoir d’or de Héb. 9:4 est en réalité l’autel d’or.
En Exode 30, l’autel d’or est mentionné bien plus tard que les autres éléments du sanctuaire parce que la consécration des sacrificateurs devait être traitée préalablement. Plus loin dans le chapitre, nous avons la mention de l’encens qui devait être apporté et offert sur cet autel. L’encens parle de l’adoration et du culte des saints qu’ils offrent par le Seigneur Jésus. Il n’y a que trois passages dans le Nouveau Testament qui parlent de culte et d’adoration d’une manière plus expressive. En Jean 4, nous lisons que le Père cherche des adorateurs qui l’adorent « en esprit et en vérité ». En Hébreux 13:15, nous lisons : « Offrons donc, par lui, sans cesse à Dieu un sacrifice de louanges, c’est-à-dire le fruit des lèvres qui confessent son nom ». Le Seigneur Jésus est le véritable autel d’or, et c’est sur cet autel qu’on doit offrir l’encens et les sacrifices de louange. Ce sera vrai éternellement. 1 Pierre 2 dit : « vous-mêmes aussi, comme des pierres vivantes, êtes édifiés une maison spirituelle, une sainte sacrificature, pour offrir des sacrifices spirituels, agréables à Dieu par Jésus Christ ». Toute activité spirituelle dans laquelle nous nous engageons ici-bas aura sa fin, quelle qu’elle soit, aussi bien la prédication de l’évangile que l’enseignement, ou les soins pastoraux, ou la participation à des conférences chrétiennes, etc. Mais il y a une activité qui ne finira jamais, c’est le culte. C’est pourquoi il y a un autel d’or dans les cieux parce que cette pensée d’adoration était éternellement dans le cœur du Père, et le culte sera offert éternellement par ceux qui ont été rachetés par le précieux sang de Christ.
Le trône de Dieu est mentionné en Apocalypse 4, mais on n’y trouve aucun détail, pas plus que dans les nombreux autres passages de l’Apocalypse qui parlent du trône. Il ne nous est pas dit à quoi il ressemble, ou plutôt ses caractéristiques ne nous sont pas données parce qu’il ne s’agit pas de choses matérielles. Nous avons des descriptions du trône de Dieu dans les lieux célestes en Ézéchiel 1:26, et en Ésaïe 6:1. Ces versets nous montrent que ce trône glorieux est entouré et caractérisé par des êtres spirituels, en particulier ceux qui, dans le premier chapitre d’Ézéchiel, sont appelés ‘animaux’ dans la version française J.N. Darby, ‘êtres vivants’ dans la version allemande Elberfeld. Les chérubins et les séraphins sont des êtres spirituels créés, mais ils ne sont jamais identifiés aux anges dans la Parole de Dieu. Je ne sais pas s’il est faux de dire que ce sont des anges, mais l’Écriture ne le dit pas. Dans le livre de l’Apocalypse, les quatre ‘animaux’ (selon la version française J.N. Darby ; ‘êtres vivants’ dans la version allemande Elberfeld) combinent certainement les caractéristiques des ‘animaux’ [ou : créatures vivantes] d’Ézéchiel et des séraphins d’Ésaïe 6. Le livre d’Ézéchiel nous montre les caractéristiques du trône gouvernemental de Dieu.
Deux chérubins d’or, faits d’une seule pièce avec le propitiatoire, se tenaient debout sur l’arche de l’alliance. Leur visage était tourné vers l’endroit où le sang était apporté une fois par an au jour des propitiations. Nous lisons en 1 Samuel 4:4 et 2 Samuel 6:2, que Dieu siège entre les [ou : au-dessus des] deux chérubins. La traduction allemande dit qu’Il trône entre les chérubins, et il est évident que l’arche était le trône de Dieu. C’est la représentation la plus complète de la personne et de l’œuvre du Seigneur. À cet égard, nous lisons en Hébreux 9 : « un tabernacle qui est appelé saint des saints, ayant l’encensoir d’or, et l’arche de l’alliance entièrement couverte d’or tout autour, dans laquelle était la cruche d’or qui renfermait la manne, et la verge d’Aaron qui avait bourgeonné, et les tables de l’alliance ; et, au-dessus de l’arche, des chérubins de gloire ombrageant le propitiatoire ; sur quoi nous n’avons pas à parler dans ce moment en détail ».
Le couvercle de l’arche de l’alliance est appelée ici « le propitiatoire » et en Romains 3:24, nous lisons que les croyants sont « justifiés gratuitement par sa grâce, par la rédemption qui est dans le Christ Jésus, lequel Dieu a présenté pour propitiatoire, par la foi en son sang». Dans ce verset, la Parole de Dieu elle-même dit que le Seigneur Jésus, par son œuvre expiatoire au Calvaire, est l’accomplissement du type du propitiatoire de l’Ancien Testament. C’est le trône de Dieu, la base de Ses relations avec les hommes dans le temps présent. N’est-ce pas merveilleux qu’en Hébreux 4 Son trône soit appelé un « trône de grâce » ? Le Dieu saint et juste use de miséricorde et de grâce envers nous parce que c’est là la base sur laquelle repose toute action de Sa part dans le temps présent. Il trône, pour ainsi dire, sur ce propitiatoire, sur le Seigneur Jésus qui est le trône de grâce. Il est celui qui a ouvert la voie d’accès à la présence de Dieu. Dans le futur, les activités de Dieu changeront, et le Dieu de grâce se révélera comme un Dieu de jugement, mais, comme nous l’avons déjà vu, l’impulsion et la mesure de ce qu’Il fait seront encore et toujours le Seigneur Jésus et Son œuvre sur la croix du Calvaire. Par la foi, nous pouvons maintenant nous approcher de ce trône de Dieu en esprit, mais bientôt nous entourerons ce trône où notre Dieu et Père trône. Ces représentations ne doivent pas être considérées d’une manière matérielle parce que nous avons vu que le trône est réellement ce que le Seigneur est et ce qu’Il a fait, bien qu’il soit aussi l’Agneau au milieu du trône. Nous serons là, et il nous sera rappelé durant l’éternité tout ce que nous trouvons en rapport avec le tabernacle sur terre. Je ne peux que recommander à chaque jeune croyant d’étudier ces choses, parce qu’elles pointent en avant vers l’assemblée, et en-haut vers là où nous serons bientôt dans la présence de Dieu, entourant Son trône, jetant nos couronnes devant Lui et chantant le cantique nouveau : « Tu es digne ».