1 [Jésus Christ crucifié]

Lorsque l’apôtre Paul vint pour la première fois à Corinthe pour annoncer le témoignage de Dieu, il résolut de ne rien connaître d’autre que Jésus-Christ et Jésus Christ crucifié. La sagesse humaine était très estimée par les Corinthiens, et l’apôtre jugea qu’il fallait y répondre par la vérité de la croix, qui mettait de côté toute la sagesse vantée de l’homme. Qu’est-ce que toute la sagesse de ce monde pouvait apporter aux pauvres pécheurs ? Le salut ne pouvait être procuré aux hommes par les sages, les scribes ou les discuteurs de ce monde ; mais la croix de Christ, qui paraissait si faible aux Juifs et si insensée aux intellectuels Gentils, était le moyen par lequel Dieu assurait Son grand salut.

2 [Jésus Christ en qui toutes les promesses de Dieu sont annoncées et garanties]

Parlant de ce même témoignage, dans la deuxième épître aux Corinthiens, l’apôtre dit : «Car le Fils de Dieu, Jésus-Christ, qui a été prêché par nous au milieu de vous, n’a pas été oui et non, mais en Lui est le oui. Car toutes les promesses de Dieu en Lui sont oui, et en Lui Amen, à la gloire de Dieu par nous» (2 Cor. 1:19-20). Ainsi, le Seigneur Jésus ne nous est pas seulement présenté comme Le crucifié, mais comme Celui en qui toutes les promesses de Dieu sont annoncées et garanties pour la gloire de Dieu.

3 [Un ministère qui a apporté du ciel la connaissance de Dieu en Christ]

Quel merveilleux ministère a été donné à Paul — un ministère qui a apporté du ciel la connaissance de Dieu dans la personne de Christ. En annonçant l’Évangile, Paul et ses compagnons de travail manifestaient la saveur céleste de la connaissance de Dieu partout où ils allaient ; et tous ceux qui venaient sous l’influence de la parole, apprenaient ce que Christ est pour Dieu. Quoi que soit ce que les hommes pensaient de Christ, Paul était une bonne odeur pour Dieu. Pour ceux qui recevaient le témoignage de Paul, c’était comme une odeur vivifiante venant du royaume de la vie ; mais pour ceux qui le rejetaient, c’était comme une odeur mortelle venant de la région de la mort. Face à un tel message, dont l’acceptation ou le rejet déterminait la destinée éternelle des hommes, faut-il s’étonner que Paul ait dit : «Qui est suffisant pour ces choses ?» (2:16).

4 [L’Évangile de Paul]

Le ch. 3 nous apprend quelque chose du caractère de ce merveilleux ministère. Ce n’était pas comme l’ancienne alliance, qui était un ministère de condamnation et de mort ; c’était un ministère de l’Esprit, qui apportait la justice et la vie aux hommes ; et j’espère que tous ceux qui sont présents ici ont reçu ce ministère de la nouvelle alliance, avec sa justice et sa vie, dont Paul et son compagnon Timothée étaient les ministres. Dans cette épître, Paul parle de «notre Évangile» (4:3) ; dans d’autres épîtres, il l’appelle «mon Évangile». C’est l’Évangile que le Seigneur a confié spécialement à l’apôtre, mais en associant Timothée à la rédaction de cette épître, il parle en grâce de «notre Évangile». Timothée était très intimement attaché à Paul, et l’apôtre peut lui écrire plus tard : «Tu as pleinement compris ma doctrine» (2 Tim. 3:10) ; Timothée prêchait sans aucun doute ce qu’il avait appris de Paul.

Fondamentalement, l’Évangile de Paul était celui prêché par les autres apôtres, mais il a ses caractéristiques propres et ses révélations divines. Paul avait reçu son appel par le Fils de Dieu dans le ciel, et cela donnait son caractère à sa prédication. Il n’avait pas reçu ce qu’il prêchait des hommes ou par l’intermédiaire des hommes ; il l’avait reçu directement du Christ céleste, avec Son autorité pour le faire connaître. En présentant son Évangile aux Romains, Paul montre qu’il est conforme à ce que Dieu avait déjà promis par Ses prophètes dans les saintes Écritures ; dans cette épître, il traite des sujets de la justice et de la délivrance ; au ch. 8, il parle du dessein de Dieu et de Christ à la droite de Dieu.

En 1 Corinthiens 15, nous avons l’une des révélations spéciales de l’Évangile de Paul, où il dit : «Voici, je vous dis un mystère : nous ne nous endormirons pas tous, mais nous serons tous changés...». Si le Seigneur venait cette nuit, les morts en Christ ressusciteraient de leurs tombeaux dans l’incorruptibilité, et nos corps seraient changés pour devenir conformes à Son corps de gloire. Est-ce là votre perspective, cher ami ? Que vous arriverait-il si le Seigneur Jésus venait ce soir ? Croyez au Seigneur Jésus-Christ et vous serez sauvés — non seulement sauvés des conséquences de vos péchés, mais aussi complètement sauvés de ce monde lorsque viendra l’heureux moment dont nous avons parlé. Une autre révélation spéciale de l’Évangile de Paul se trouve en 1 Thessaloniciens 4, où Paul dit : «Nous vous disons ceci par la parole du Seigneur» (1 Thess. 4:15). Nous avons ensuite un développement de la vérité de l’enlèvement — l’enlèvement des saints au ciel par le Seigneur, afin qu’ils puissent plus tard apparaître avec Lui dans Sa gloire.

5 [Un ministère qui conduit à Christ dans la gloire]

À la fin de 2 Cor. 3, l’apôtre montre où son ministère conduit : il nous conduit au Seigneur Jésus Christ dans la gloire, car il dit : «Nous tous, nous contemplons la gloire du Seigneur à face découverte». Le chrétien traverse ce monde non seulement en regardant en arrière vers la croix, mais aussi en regardant en haut pour voir la gloire qui brille sans voile sur le visage de Jésus. Il est le grand administrateur entre les mains duquel Dieu a tout remis, et Il est notre Seigneur. Nous sommes passés sous Son autorité, et comme nous Lui sommes soumis, étant occupés de Lui dans Sa gloire, nous devenons moralement semblables à Lui. Avez-vous jamais remarqué qu’un enfant, bien qu’il tienne sa nature de son père ou de sa mère, tient en grande partie son caractère de sa mère, étant plus souvent avec elle et occupé avec elle. Ainsi, chers amis, tandis que nous sommes occupés du Seigneur dans la gloire, nous devenons comme Lui — nous prenons Son caractère. Lorsque Moïse sortit de la présence de Dieu, son visage resplendissait, et le peuple ne pouvait pas regarder son visage. Il en est tout autrement avec Jésus : il n’y a pas de voile sur Son visage, et ceux qui croient en Lui peuvent contempler Sa gloire. Quelle occupation pour nous !

6 [Un ministère qui marque la vie pratique de celui qui l’exerce]

Au début du ch. 4, Paul dit : «C’est pourquoi, ayant ce ministère comme ayant reçu miséricorde, nous ne nous lassons pas» (2 Cor. 4:1). Il estime qu’avoir reçu un ministère engageant les hommes dans des choses célestes si stupéfiantes, ayant elles-mêmes des enjeux éternels et des résultats actuels, cela ne peut être soutenu que par la miséricorde de Dieu. De plus, ceux qui exercent un ministère au sujet de la pure lumière de Dieu, et qui parlent de la gloire de Dieu, doivent vivre en accord avec ce ministère qu’ils exercent. Or, certains, dont parle l’apôtre, maniaient la parole de Dieu de manière trompeuse, et leur vie était tout à fait inconséquente avec la vérité. En revanche, Paul s’efforçait de manifester dans sa vie la vérité qu’il prêchait. Nous voyons cela réalisé en perfection dans le Seigneur Jésus qui pouvait dire : «Je suis absolument ce que je vous dit» (Jean 8:25). Il était l’expression parfaite de tout ce qu’Il disait. C’était la même ligne que Paul suivait : il ne pouvait pas être aussi parfait que son Maître, mais selon la grâce divine dont il bénéficiait, sa manière de vivre consistait à vivre dans la lumière et la puissance de la vérité qu’il faisait connaître dans le cadre de son ministère. Nous n’avons peut-être pas tous le privilège d’exercer le ministère de la vérité, mais nous pouvons tous tenir à la vérité dans l’amour et, ainsi chercher à la manifester. Paul ne s’efforçait pas de se recommander lui-même au jugement ou aux pensées des hommes, mais à leur conscience (2 Cor. 3:1 et 4:2) ; il vivait devant eux de manière à ce que personne ne puisse dire que sa vie était inconséquente avec sa parole.

7 [Satan aveugle]

Revenant au ministère de Paul, il dit : «Si notre Évangile est voilé, il est voilé pour ceux qui périssent» (2 Cor. 4:3). La lumière de l’Évangile, qui nous apporte la connaissance de Dieu, expose aussi la condition de perdition de ceux qui ne connaissent pas l’Évangile ; et si il est voilé aux hommes, c’est que Satan les a aveuglés ; ils sont sous son influence. Mais l’Évangile a été envoyé aux hommes «pour leur ouvrir les yeux, afin qu’ils se tournent des ténèbres à la lumière, et de la puissance de Satan à celle de Dieu» (Actes 26:18).

8 [L’évangile de la gloire présente Celui qui est l’image de Dieu]

Nous avons parlé de la gloire du Seigneur : l’Apôtre nous présente maintenant la gloire de Christ, qui est l’image de Dieu. L’Évangile de la grâce de Dieu parle des ressources divines pour répondre aux besoins du pécheur, mais l’Évangile de la gloire de Christ nous présente le dernier Adam, qui est l’image de Dieu. Le premier homme a été fait à l’image de Dieu pour Le représenter sur terre, mais Christ est la représentation parfaite de Dieu dans la gloire céleste. Ce que Dieu est, dans sa disposition à l’égard des hommes en grâce juste, se voit dans la gloire de Christ. Mais tout ce que l’homme est pour Dieu, non seulement par rapport aux choses terrestres, mais aussi par rapport aux choses célestes, est montré à l’œil de la foi dans la gloire de Christ. (Le Fils en tant qu’image du Dieu invisible en Colossiens 1:15, est quelque peu différent de ce qui est présenté ici. Là, nous voyons Dieu, qui demeure dans une lumière inaccessible, se manifester dans la personne du Fils, vu de la seule manière dont on peut Le voir : dans le Fils de Son amour). En prêchant l’Évangile, Paul invitait les hommes à reconnaître la seigneurie de Christ : c’est Christ qu’Il prêchait, non pas lui-même. Les vrais serviteurs du Seigneur servent les saints par amour pour Jésus.

9 [La lumière de la connaissance de Dieu dans la face de Christ]

Un autre aspect de l’Évangile de Paul nous intéresse maintenant : «Car c’est le Dieu qui a dit que du sein des ténèbres la lumière resplendît, qui a relui dans nos cœurs» (4:6). Il revient sur le moment où la lumière a percé les ténèbres dans l’ancienne création, et il montre que Dieu dissipe des ténèbres encore plus grandes, des ténèbres morales, en envoyant Sa lumière céleste dans nos cœurs que le péché avait assombris. La lumière de Genèse 1 annonçait le début des opérations divines pour sauver le monde des ténèbres et du chaos qui s’ensuivaient, révélant la puissance et la sagesse de Dieu ; mais la lumière qui brille sur la face de Jésus Christ montre une gloire divine d’un caractère différent. Elle nous apporte la connaissance de la gloire de Dieu en rapport avec Son sauvetage des hommes des ténèbres et de la confusion grossières introduites par le péché, et elle manifeste par la rédemption les ressources de la sagesse et de la puissance de Dieu. Combien la gloire de Dieu brille dans tout ce que Sa grâce a accompli par le moyen de la croix ! En Christ glorifié, nous apprenons ce qu’est Dieu dans le grand amour de Son cœur envers les pécheurs, car en Lui toute la bénédiction de Dieu, rendue disponible par Sa mort, nous est présentée dans l’Évangile.

10 [Le serviteur peut témoigner dans la mesure de la lumière qui a pénétré son cœur et sa vie]

Cette merveilleuse lumière céleste avait brillé dans les cœurs des fidèles serviteurs du Seigneur venus à Corinthe avec le témoignage de Dieu. La lumière qui avait brillé sur Saul de Tarse sur le chemin de Damas avait pénétré son cœur enténébré et l’avait réclamé pour toujours pour le Seigneur, afin qu’il puisse annoncer la bonne nouvelle que la lumière lui avait apportée. La vérité que les serviteurs de Dieu peuvent annoncer avec puissance est seulement la vérité qui a pénétré dans leur cœur et affecté leur propre vie. C’est ainsi que Paul a pu parler avec puissance de la lumière qui révélait la nature et le caractère de Dieu, resplendissant en grâce et en amour. Lorsque Dieu a appelé Paul pour la première fois à prêcher Jésus comme le Fils de Dieu, Il révéla Son Fils en lui, comme nous le lisons dans Galates 1:15-16 : «Mais quand il plut à Dieu de révéler Son Fils en moi, afin que je L’annonce».

11 [La connaissance de Dieu dans l’œuvre de propritiation]

Nous avons vu que la lumière de la connaissance de la gloire de Dieu est liée aux résultats de la grande œuvre accomplie par le Seigneur Jésus sur la croix pour la bénédiction des hommes ; mais elle fait aussi connaître la profonde satisfaction de Dieu en Celui qui a achevé l’œuvre. La propitiation assurée par la mort de Christ demeure en Lui, là où Il est glorifié, dans toute son efficacité éternelle et infinie ; et le témoignage de cela fait partie intégrante de l’Évangile. La gloire de Dieu dans la création est déjà très merveilleuse, car «les cieux racontent la gloire de Dieu, et le firmament annonce l’ouvrage de Ses mains» (Psaume 19:1) ; mais combien plus merveilleuse est la connaissance de la gloire de Dieu telle qu’elle est vue dans Son propre Fils béni, qui a assuré Sa gloire par Sa mort sur la croix, et qui est maintenant assis à Sa droite dans le ciel.

12 [Un trésor dans des vases d’argile, mais des vases soutenus par la grâce et la miséricorde de Dieu]

Cette connaissance étonnante est un trésor qui surpasse de loin tout ce qui existe dans ce monde, et «nous avons ce trésor dans des vases de terre» (4:7). Tout croyant dans le Seigneur Jésus-Christ, selon sa mesure, a le privilège de porter dans ce monde la connaissance inestimable de la gloire de Dieu. Or Paul et Timothée étaient des vases spéciaux, car le témoignage de ces choses leur avait été confié d’une manière particulière, et ce n’est que par les ressources de la grâce et de la miséricorde de Dieu que les vases d’argile, qui contenaient le trésor divin, pouvaient être constamment soutenus. Ils étaient l’objet de la malice de Satan et de la haine des hommes, étant persécutés et troublés partout où ils allaient ; mais Dieu a permis ces choses afin que le trésor contenu dans les vases puisse briller en témoignage pour le Seigneur. Qu’est-ce que toutes ces difficultés ont accompli ? Elles brisaient les vases, et la lumière brillait ! Pourquoi ces hommes dévoués n’ont-ils pas été affligés ou détruits dans toutes leurs difficultés et persécutions ? Parce que Dieu soutenait les vases d’argile ! Ils apprenaient que l’excellence de la puissance qui les soutenait venait de Dieu, et non pas d’eux-mêmes.

13 [Effets positifs des troubles et tribulations]

Une vie de persécution, avec en face d’eux constamment le martyre pour Christ, produisait chez Paul et Timothée les mêmes traits de beauté que ceux qui ressortaient chez leur Maître. Satan et ses dupes pouvaient avoir été les instruments, mais Dieu était derrière tout cela, ordonnant les circonstances de Ses serviteurs, pour que la mort soit toujours devant eux, afin que la douceur, la débonnaireté, la bonté et autres douces grâces de la vie de Jésus puissent être vues par leur entourage. Nous connaissons nous-mêmes le danger de nous installer ici-bas si nos circonstances sont calmes et confortables ; mais lorsque Dieu secoue le nid et que nous ressentons les épines et les coups de la détresse, nos pensées sont détournées de ce qui nous occupait pour se tourner vers les choses de Christ dans le ciel. Quand tout semble être contre nous ici, quand nous sommes l’objet de la malice humaine, quand les troubles et les persécutions nous assaillent, nous pouvons être assurés que l’objectif de Dieu est de manifester en nous, dans notre chair mortelle, les traits de la vie céleste de Christ qui ne passera jamais.

14 [Les légères tribulations d’un moment — 2 Cor. 4:16-18]

À la fin du chapitre, l’apôtre parle de toutes les souffrances qu’il a endurées pour Christ comme de légères afflictions d’un moment. Il semble dire : «Venez avec moi dans la présence de Christ en gloire, et nous pèserons toutes ces choses à la balance du sanctuaire». Il place toutes les souffrances sur une échelle, et sur une autre il met la gloire qu’il partagera avec Christ dans le jour à venir ; il nous permet ainsi de comprendre pourquoi il peut considérer tout ce qu’il a traversé comme une «légère affliction». Il a souffert de longues années pour Christ, afin d’apporter Sa parole à ceux qui sont bénis par l’Évangile ; mais lorsqu’il compare ces années à l’éternité dans laquelle il héritera avec Christ de tout ce qui se trouve dans la volonté et les conseils de Dieu pour les saints, il considère qu’il ne s’agit que d’une parcelle de temps. Lorsque nous considérons les travaux, les persécutions, les périls et les autres souffrances endurés par Paul, tels que décrits en 2 Cor. 11, nous pouvons nous faire une petite idée de la manière dont il était illuminé et contrôlé dans ses pensées, ses sentiments et ses jugements, par les choses invisibles de Christ en gloire.

L’attitude normale du chrétien est de s’occuper des choses invisibles ; les yeux sont alors fermés aux choses de ce monde, et ouverts par la foi et dans la puissance de l’Esprit, vers le monde où nous pouvons contempler à la fois la gloire du Seigneur, la gloire de Christ qui est l’image de Dieu, et la lumière de la connaissance de la gloire de Dieu sur la face de Jésus-Christ. Si nous sommes ainsi occupés avec Christ dans la gloire, les conflits, les épreuves et les douleurs présents par lesquels Dieu nous appelle à passer, peuvent être considérés comme de légères afflictions. Toute la gloire de ce monde passe rapidement, mais la gloire qui brille sur la face de Jésus demeure ; il est donc heureux pour nous d’être occupés de ce qui est réel et permanent.

15 [Conclusion]

Quel merveilleux ministère a été confié à l’apôtre Paul et nous a été apporté ! Nous n’avons fait qu’effleurer une partie du ministère qui lui a été confié. Ce ministère englobe toute une richesse de vérités liées aux conseils de Dieu, mais la voie d’accès à ces choses se trouve dans les chapitres que nous avons examinés et dans le fait de permettre à la lumière de l’Évangile de Paul d’avoir sa vraie place dans nos cœurs.